Fruit d’un travail collectif entre les élus communautaires et municipaux des 13 communes, adopté par le Conseil communautaire le mardi 7 juin 2022, le projet de territoire de Cergy-Pontoise dessine, pour toutes et tous à l’horizon 2030, un avenir prometteur, écologique et solidaire à mettre en œuvre.
Un avenir prometteur, écologique et solidaire
Son ambition se structure en 3 axes majeurs : l’attractivité du territoire, la transition écologique et énergétique et la solidarité. Dix orientations clés en découlent ayant pour but de renforcer et valoriser les nombreux atouts du territoire, de permettre à tous de vivre dans un environnement de qualité et de favoriser un développement équilibré de l’agglomération.
Deux nouvelles instances participatives
Il s’appuie sur la participation de tous ceux qui, par leur implication et leur dynamisme, font de Cergy-Pontoise un territoire apte à relever les défis d’aujourd’hui et de demain. Ce document évolutif sera complété et enrichi durant le second semestre 2022 par deux nouvelles instances participatives : un conseil de développement et une assemblée citoyenne – regroupant partenaires, usagers et habitants du territoire.
Une feuille de route partagée
Pour Jean-Paul Jeandon, président de la Communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise : « L’agglomération de Cergy-Pontoise entre dans une ère nouvelle, celle de la transition écologique, poursuivant ainsi son essor dynamique et harmonieux. Il lui fallait pour cela se doter d’une feuille de route devant traduire la vision de ce développement à échéance 2030. Cette vision doit être partagée bien sûr par les élus communautaires et municipaux mais aussi par les habitants de son territoire, les Cergypontains. Ce projet de territoire est une première traduction d’une agglomération dont l’esprit reste résolument pionnier et moderne.».
Consultez le projet de territoire sur www.cergypontoise.fr
Intensifier la transition écologique
Le territoire se fixe plusieurs objectifs d’ici à 2030 en matière de transition écologique :
- diminuer les émissions de gaz à effet de serre de 40% (de 1 500 000 à 960 000 tonnes équivalent CO2)
- faire passer la part des énergies renouvelables à 32% (contre 8% actuellement)
- ou encore baisser la consommation énergétique du territoire de 28% (de 3,5 à 2,5 millions de Mégawattheure).