Programmée tous les samedis à partir de 15h – sauf le 18 juillet, date de Lire en short, la Fête du livre jeunesse, et le 15 août, jour férié oblige -, cette nouvelle édition mettra à l’honneur le jazz et les musiques du monde, et fera la part belle à la littérature. L’occasion également de s’initier à l’écriture et de découvrir un artiste aux multiples facettes…
Expo au long cours, groove et littérature
Tout au long des Tempos, l’exposition d’art plastique Tsimtsoum – en référence à la Kabbale – présentera les œuvres colorées et pleines de vie de David Kantorovitz. Inaugurée le 11 juillet, elle sera précédée d’un concert entre swing et groove avec, sur scène, Gaël Horellou au saxophone alto, accompagné de ses comparses Frédéric Nardin à l’orgue et Antoine Paganotti à la batterie, pour une (re)découverte des plus grands standards du jazz. Le 25, place à la littérature. À 10h, Le « Labo des histoires » vous invitera à prendre la plume dans le cadre d’un atelier d’écriture ludique et créatif (à partir de 14 ans). Puis, dès 15h, Hubert Jappelle donnera à entendre un texte déroutant et percutant : Les lois fondamentales de la stupidité humaine de Carlo Cipolla.
De l’électro à la flûte traditionnelle japonaise
Le 1er août, au tour du duo Urban Minim Art – Fabienne Magnant à la guitare et Pierre Dutrieu, compositeur et professeur au CRR de Cergy-pontoise, à la clarinette – de vous faire vibrer… au son électro. Le 8, danse et percussions seront de la partie avec Esquisses, un spectacle improvisé présenté par Agnès et Daniel Jean d’heur. Le 22, la BEI accueillera le Dj Thierry Arnold, pour une session dub – un dérivé du reggae. Les Tempos s’achèveront le 29 août sur fond de flûte shakuhachi, pour une parenthèse zen offerte par Daniel Lieferman, élève du célèbre Yoshikazu Iwamoto. Un programme prometteur… à savourer sans compter.
Expo au long cours, groove et littérature
Tout au long des Tempos, l’exposition d’art plastique Tsimtsoum – en référence à la Kabbale – présentera les œuvres colorées et pleines de vie de David Kantorovitz. Inaugurée le 11 juillet, elle sera précédée d’un concert entre swing et groove avec, sur scène, Gaël Horellou au saxophone alto, accompagné de ses comparses Frédéric Nardin à l’orgue et Antoine Paganotti à la batterie, pour une (re)découverte des plus grands standards du jazz. Le 25, place à la littérature. À 10h, Le « Labo des histoires » vous invitera à prendre la plume dans le cadre d’un atelier d’écriture ludique et créatif (à partir de 14 ans). Puis, dès 15h, Hubert Jappelle donnera à entendre un texte déroutant et percutant : Les lois fondamentales de la stupidité humaine de Carlo Cipolla.
De l’électro à la flûte traditionnelle japonaise
Le 1er août, au tour du duo Urban Minim Art – Fabienne Magnant à la guitare et Pierre Dutrieu, compositeur et professeur au CRR de Cergy-pontoise, à la clarinette – de vous faire vibrer… au son électro. Le 8, danse et percussions seront de la partie avec Esquisses, un spectacle improvisé présenté par Agnès et Daniel Jean d’heur. Le 22, la BEI accueillera le Dj Thierry Arnold, pour une session dub – un dérivé du reggae. Les Tempos s’achèveront le 29 août sur fond de flûte shakuhachi, pour une parenthèse zen offerte par Daniel Lieferman, élève du célèbre Yoshikazu Iwamoto. Un programme prometteur… à savourer sans compter.