Les plus beaux papillons de Cergy-Pontoise
Publié le 15 mai 2020
À Cergy-Pontoise, grâce à la gestion écologique des espaces verts et naturels qui fait la part belle aux prairies, il n’est pas rare d’observer le vol gracieux des papillons de jour. Voici une sélection des plus beaux d'entre-eux. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le blog Nature en ville à Cergy-Pontoise.
Le Vulcain est souvent observé en train d’absorber le jus des fruits tombés des arbres.
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La Belle-Dame est un étonnant migrateur. Elle nous arrive chaque printemps d’Afrique du Nord et peut remonter jusqu’à l’Islande.
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Le Tircis est le plus commun de nos papillons forestiers. Le mâle défend activement son territoire.
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L’Argus bleu est présent dans toute l’Europe mais il a une préférence pour les terrains secs et calcaires. Sa chenille consomme des fabacées.
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Ces Argus bleus sont en accouplement. La femelle (à droite) arbore une teinte plus brune.
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L’Azuré porte-queue doit son nom aux poils bleus qui ornent la face supérieure de ses ailes. C’est un migrateur qui ne passe pas l’hiver dans notre région.
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La Piéride du chou est connue pour les nuisances de sa chenille dans les potagers. Il existe en Ile-de-France quatre espèces de piérides.
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Le Paon du jour est très facile à reconnaitre à ses quatre grands ocelles (tâches en forme d’yeux) sur la face dorsale de ses ailes.
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Le Petit Sylvain est une espèce forestière. Sa chenille consomme des chèvrefeuilles.
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Ces Aurores sont ici en train de butiner la plante hôte de leur chenilles, la cardamine des près. Seuls les mâles présentent ces taches orange à l’apex des ailes.
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Les ailes de ce Citron se sont dégradées en vieillissant. Il passe l’hiver à l’état adulte en se cachant dans les feuilles mortes. Pour résister au froid, il sécrète des antigels.
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Les ailes du Petit Mars changeant présente un reflet bleu sous certaines incidences . Cette couleur est le fait d’une iridescence liée aux microreliefs des écailles.
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Les papillons ne se nourrissent pas uniquement de nectar, parfois ils s’intéressent aux sels minéraux contenus dans les déjections d’oiseaux, comme le fait cet Azuré des Nerpruns.
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Le mâle du Collier-de-corail a rencontré sa femelle. Le dimorphisme sexuel est très peu marqué sur cette espèce : la femelle a l’abdomen plus court et rebondi.
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