Cergy-Pontoise change de braquet !

Publié le 24 novembre 2015

Dans le cadre de la COP21 , l’Agglomération de Cergy-Pontoise encourage ses habitants à acquérir des vélos à assistance électrique pour participer à la limitation des émissions de gaz à effet de serre.

Le 23 novembre, les bénéficiaires du dispositif d’aide à l’acquisition de vélos électriques mis en place par l'Agglomération recevaient un chèque de 150 euros.
Lundi 23 novembre, la Communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise accueillait à l’Hôtel d’agglomération plusieurs bénéficiaires de son dispositif d’aide à l’acquisition de vélo à assistance électrique. A cette occasion, chacun d’entre eux a reçu un chèque de 150 € des mains de  Marc Denis, vice-président de l’Agglomération chargé du développement durable.

En amont de la conférence internationale sur le climat (dite « COP 21 »), la Communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise a développé son propre programme d’actions dénommé « 2015, Cergy-Pontoise s’engage pour le climat ! ». L’une de ces actions consistait à mettre en place un dispositif d’aide financière à l’acquisition de vélos à assistance électrique (VAE), afin de mieux faire connaître ce moyen de transport alternatif et d’inciter les Cergypontains à s’équiper, notamment pour réaliser leurs déplacements domicile/travail. Au total, 17 habitants ont bénéficié de ce dispositif. Equipés d’un VAE, ces éco-citoyens participent dès aujourd’hui concrètement à la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre, diminuent leurs frais de transport et œuvrent efficacement pour leur maintien en bonne santé.
 

Kevin Cornilleau, de Vauréal, va bientôt avoir un nouveau job à Osny et compte bien utiliser son vélo électrique pour faire ses allers-retours domicile/travail. « En attendant, le week-end, je prends mon vélo classique et je confie le vélo électrique à Madame pour qu’elle puisse me suivre plus confortablement », indique l’intéressé.
 

Pour Philippe Veillon, de Courdimanche, qui avait arrêté d’utiliser son vélo classique pour des problèmes de santé, le VAE est un vrai petit miracle qui lui permet d’affirmer, le sourire aux lèvres : « Je me suis remis au vélo ! Et vous savez, pour faire du vélo à Courdimanche, il faut le mériter ! »
 

Chantal Fauroux habite les hauts de Jouy-le-Moutier. Sauf météo dissuasive, elle souhaite faire tous les jours les allers-retours entre son domicile et la gare RER de Neuville-Université. Ses premiers essais sont concluants et elle n’en revient toujours pas : « Depuis le Carrefour de la Croix Saint-Jacques, j’arrive sans effort particulier en haut de la côte d’Ecancourt en trois minutes ! »