Anne-Séverine Jeanneau prépare la rentrée de l’école élémentaire Talentiel, la huitième depuis son ouverture. Elle a fondé cette école pour venir en aide à des enfants des classes élémentaires en souffrance dans le système scolaire. Avant d’en arriver là, sa vie professionnelle était celle d’un cadre en commerce international, dans la logique de ses études à l’ESSEC. Après 5 ans, elle quitte un univers dont les valeurs ne lui correspondent pas et effectue un grand virage en devenant professeur des écoles de l’Education nationale. Elle enseigne plusieurs années puis se place en disponibilité pour rejoindre une école pour enfants précoces. Enfin, poussée par le besoin de venir en aide à son propre fils, elle créée à Vauréal où elle vit depuis 1995 l’école Talentiel, contraction de « talent » et « potentiel ».
Une valeur cardinale : le respect
Conçue au départ pour des enfants à haut potentiel mais soit isolés affectivement des autres élèves, soit décrochant scolairement pour se sentir comme les autres, l’école accueille également aujourd’hui les enfants souffrant de troubles cognitifs de type « DYS ». L’école se veut un tremplin. « Le but c’est que le enfants repartent, ce qu’ils font en moyenne après un an et demi passé ici. Ils repartent en sachant qui ils sont, comment ils fonctionnent et comment les autres fonctionnent. C’est la clé de la socialisation » explique la directrice. L’enseignement à Talentiel s’appuie sur la notion de solidarité et de respect. « Ici, aucun enfant ne se moque d’un autre. C’est juste impossible. La valeur cardinale de l’école c’est le respect». A Talentiel, la directrice et une seconde enseignante forment deux classes de 15 enfants aux programmes officiels du cycle élémentaire avec des contenus conçus par Anne-Séverine Jeanneau. Signe particulier, l’évaluation est préalable à la leçon, permettant aux élèves d’échapper à la pédagogie de la répétition, souvent génératrice d’ennui.
Passer de deux à trois classes
Parallèlement à la rentrée, Anne-Séverine Jeanneau prépare l’emménagement possible de l’école dans un futur quartier intergénérationnel de Vauréal en 2018. Il suppose de passer à trois classes. De quoi mobiliser les énergies des membres de l’association sur laquelle repose l’école, et au-delà. Bonnes volontés bienvenues.
Une valeur cardinale : le respect
Conçue au départ pour des enfants à haut potentiel mais soit isolés affectivement des autres élèves, soit décrochant scolairement pour se sentir comme les autres, l’école accueille également aujourd’hui les enfants souffrant de troubles cognitifs de type « DYS ». L’école se veut un tremplin. « Le but c’est que le enfants repartent, ce qu’ils font en moyenne après un an et demi passé ici. Ils repartent en sachant qui ils sont, comment ils fonctionnent et comment les autres fonctionnent. C’est la clé de la socialisation » explique la directrice. L’enseignement à Talentiel s’appuie sur la notion de solidarité et de respect. « Ici, aucun enfant ne se moque d’un autre. C’est juste impossible. La valeur cardinale de l’école c’est le respect». A Talentiel, la directrice et une seconde enseignante forment deux classes de 15 enfants aux programmes officiels du cycle élémentaire avec des contenus conçus par Anne-Séverine Jeanneau. Signe particulier, l’évaluation est préalable à la leçon, permettant aux élèves d’échapper à la pédagogie de la répétition, souvent génératrice d’ennui.
Passer de deux à trois classes
Parallèlement à la rentrée, Anne-Séverine Jeanneau prépare l’emménagement possible de l’école dans un futur quartier intergénérationnel de Vauréal en 2018. Il suppose de passer à trois classes. De quoi mobiliser les énergies des membres de l’association sur laquelle repose l’école, et au-delà. Bonnes volontés bienvenues.
Pour tout renseignement, rendez-vous sur www.talentiel.fr et sur www.ecole-enfants-precoces.fr