- Les points forts : un parcours parfois labyrinthique mais où l’on ne repasse quasiment jamais sur ses pas. La découverte du vallon de la rue de Puiseux.
- La durée : 2 heures
Si l’on vient en voiture malgré l’abondance de transports en commun, la garer par exemple rue de l’esplanade de Paris. La balade commence au bout de la rue, où l’on prend sur sa gauche la descente rue de Courdimanche vers les chemins des coteaux.
Du rouge dans un paysage vert, c’est exceptionnel sauf à Cergy-Pontoise.
Au premier croisement, on n’emprunte pas à droite le chemin de la Côtes des Pagnes car il est réservé au trajet retour. Au lieu de cela on descend le coteau tout droit et on rejoint le sentier aménagé à mi pente, parallèle au précédent. La vue est dégagée et on en profite.
Sous les célèbres oliviers.
Dépasser l’Axe Majeur puis longer les jardins associatifs avant de cheminer dans un léger sous-bois.
Dans leur écrin de verdure, les jolis jardins associatifs se laissent à peine apercevoir.
On s’approche de Vauréal. Juste à l’endroit où le sentier rejoint le chemin situé plus haut dans la pente, on tourne à gauche pour descendre par la rue des Closbilles. On arrive rue Nationale que l’on emprunte sur quelques dizaines de mètres avant d’entrer sous le porche de la cour des Arts.
Depuis les escaliers au fond de la cour des Arts.
Choisir le débouché de la cour des Arts par la rue de Puiseux. On l’emprunte pendant un moment en découvrant le vallon.
Le viaduc depuis la rue de Puiseux.
On va maintenant rejoindre la partie principale du village. Plutôt que de rebrousser chemin rue de Puiseux on peut tourner à gauche à la hauteur du numéro 79 et revenir pour l’essentiel par les sentes : sente du Bois Cajot puis à gauche sente Sous le Bois Durand. Ce n’est pas bien large mais ça passe.
Rue de Puiseux, où l’on voit la précision et la minceur des tranchées d’alimentation du nouvel éclairage public.
Retour rue de Puiseux, à la fourche c’est à droite, rue des Marais. On passe sous le viaduc et l’on continue tout droit rue de l’ancienne mairie. Un peu plus bas un passage protégé permet de traverser la rue pour s’enfoncer dans la sente située en face.
Le même viaduc mais sous une autre arche.
On la retrouve après le croisement de la rue Neuve et elle nous mène impasse Bourgoin puis toujours tout droit rue de Caix de saint Aymour.
Les roses trémières devant un mur ancien, harmonie visuelle garantie.
Contrairement à ce que son poétique patronyme pourrait laisser penser, ce personnage était un savant du XIXème siècle qui mena ici des fouilles fructueuses. Le prénom entier, Amédée, ne tenait visiblement pas sur la plaque de rue.
Un peu avant l’école on descend à gauche rue des Doulès. Là, traverser et longer la menuiserie Lancelot puis suivre la rue du canal.
Direction les bords de l’Oise.
Ensuite c’est à droite par la sente des Marettes En restant bien à Gauche à chaque fourche on arrive rue des Prés. On prend à gauche et on longe l’Oise un bon moment.
Encore du rouge et vert au bord de l’Oise.
On peut s’approcher de l’eau au niveau de la Maison pour Tous puis on remonte vers la rue Nationale par la rue François-André Michaux.
Ici on a le bord de l’eau, des tilleuls, des platanes… c’est l’un des plus beaux spots de bord d’Oise.
C’est ensuite à droite et après avoir dépassé l’église on monte à gauche par la ruelle de la rue Neuve. Le chemin serpente entre les jolies maisons de village mais nous emmène sans faute en haut de la rue Neuve.
L’avenue Verte à sa porte, de jolies maisons… vivre ici c’est être assez privilégié.
Au croisement avec la rue de l’ancienne mairie, il s’agit à présent de passer non plus sous mais sur le viaduc. Facile c’est à quelques mètres.
Clin d’oeil aux vestiges néolithiques de Vauréal, ce dolmen trône le long de la côte de Vauréal.
Vue plongeante sur la rue de Puiseux empruntée peu avant.
C’est maintenant tout droit par l’autre chemin des coteaux de l’Hautil.
Les coteaux de Cergy sont parsemés d’aménagements pour enfants.
Et au croisement avec l’Axe Majeur, pourquoi ne pas monter les escaliers pour finir en beauté, au pied des douze Colonnes, cette agréable promenade ?
Entre les douze colonnes et la descente sur l’Oise.